« “La situation économique, pas florissante, a des conséquences sur toutes nos actions. Il s’agit d’un report, pas d’une annulation. Nous honorerons les contrats en cours jusqu’à la fin du premier trimestre 2015” confirme Marc Bourdat, responsable de la communication Sud-Ouest pour le groupe pétrolier ».
Voilà ce qu’ose prétendre Total concernant la dépollution des terrains du bassin de Lacq.
Pour la SEPANSO 64 ceci pose encore une fois le problème de la dépollution des sites laissés par les industriels
Industriels qui, une fois partis, essaient de se dégager de leurs responsabilités et de laisser à la charge de l’État, et donc au frais du contribuable, la dépollution, des sites qu’ils ont exploités pendant des décennies.
C’était le cas pour Célanèse, pour Rio Tinto (ex Péchiney)….
Ici nous assistons à une situation tout à fait originale qui fait que l’industriel décide de son propre chef de « suspendre la dépollution des terrains ».
C’est bien connu pour ces grands groupes, les problèmes environnementaux et sanitaires passent après les intérêts financiers.
Malgré tout des lois existent et doivent être respectées.
La SEPANSO 64 continuera à défendre l’homme et son environnement ainsi que l’application du principe pollueur/payeur.